Comprendre le diabète : Causes, symptômes et gestion
Le diabète est une maladie chronique qui affecte des millions de personnes dans le monde. Le nombre de diabétiques est en augmentation constante. Il se caractérise par une mauvaise régulation de la glycémie (taux de sucre dans le sang) et peut avoir des conséquences graves sur la santé si elle n’est pas correctement prise en charge. Les différents types de diabète:
Les différents types de diabète
1) Diabète de type 1
c’est le moins fréquent. Il s’agit d’une maladie auto-immune Les maladies auto-immunes sont des troubles dans lesquels le système immunitaire attaque par erreur les tissus sains de l’organisme. Normalement, le système immunitaire protège le corps contre les agents pathogènes comme les virus et les bactéries. Cependant, dans le cas des maladies auto-immunes, il ne parvient pas à faire la différence entre les cellules saines et les agents pathogènes, ce qui entraîne une réponse immunitaire inappropriée. Dans le cas du diabète du type 1, la maladie auto-immune se caractérise par une attaque des cellules productrices d’insuline du pancréas par le système immunitaire. Le corps fabrique donc moins (ou plus du tout) d’insuline or c’est cette hormone qui permet de faire baisser le taux de sucre dans le sang. Ce type de diabète se développe généralement assez tôt dans la vie, chez les enfants et les jeunes adultes.
2) Diabète de type 2 :
C’est le plus courant et celui qui se développe avec les nouveaux modes de vie ; il est souvent lié à un mode de vie sédentaire et à une mauvaise alimentation, trop riche en sucres et graisses. Le corps devient résistant à l’insuline ou en produit insuffisamment. Là aussi le sucre va s’accumuler dans le sang.
3)Diabète gestationnel :
Survient pendant la grossesse et disparaît généralement après l’accouchement. Cependant, il augmente le risque d’environ 50% de développer un diabète de type 2 plus tard.
Causes du diabète
Les causes varient selon le type de diabète :
I – Diabète de type 1 :
Facteurs génétiques et environnementaux (par exemple, une infection virale qui déclenche la réaction auto-immune).
II – Diabète de type 2 :
1)Obésité :
Un excès de graisse corporelle, notamment autour de l’abdomen, augmente le risque.
2)Antécédents familiaux:
Avoir un parent proche atteint de diabète augmente les chances de le développer. Pour des raisons génétiques mais aussi parce que l’on a souvent les mêmes modes de vie.
3)Mode de vie :
Une alimentation riche en sucres et en graisses, combinée à un manque d’activité physique, favorise l’apparition de la maladie. C’est la cause principale.
On peut définir 3 types d’alimentations riches :
Les Aliments riches en sucres rapides :
- Boissons sucrées : sodas, jus industriels, boissons énergétiques. C’est le plus grand problème alimentaire. Les sodas sont souvent offerts dans les menus de la restauration rapide. Cela habitue très jeune à prendre des boissons sucrées pendant les repas : si cela est possible à l’occasion, c’est inutile et la pire habitude alimentaire pour la santé.
- Pâtisseries et viennoiseries : croissants, pains au chocolat, beignets. Là le problème est dans l’excès ou à l’addition à des repas déjà très caloriques.
- Bonbons et barres chocolatées
- Céréales du petit-déjeuner sucrées :les portions indiquées par les fabriquant sont facilement doublées ou triplées. Or si une portion est acceptable, deux ou trois apportent beaucoup trop de sucre.
- Produits ultra-transformés : yaourts aromatisés, plats préparés avec du sucre caché. Presque tous les produits industriels contiennent du sucre caché : la recette de la ratatouille ne contient pas de sucre, mais une ratatouille industrielle contient presque toujours du sucre !
Les Aliments riches en graisses saturées et transformées (favorisant l’inflammation et la prise de poids) :
- Fast-food : hamburgers, frites, pizzas industrielles
- Charcuteries : saucisson, bacon, jambon industriel
- Fromages très gras : cheddar, brie, raclette en excès
- Plats préparés industriels : lasagnes, quiches, plats en sauce riches en matières grasses
- Huiles hydrogénées (présentes dans les biscuits industriels, margarines, snacks)
Les excès de glucide raffinés qui font grimper la glycémie trop rapidement :
- Pain blanc, baguette classique en excès
- Riz blanc, pâtes blanches en excès et/ou trop cuits
- Pommes de terre en excès (surtout sous forme frite)
- Chips et biscuits apéritifs
III – Diabète gestationnel: Changements hormonaux pendant la grossesse et surpoids.
Ces changements hormonaux qui se produisent pendant la grosses et qui perturbent la régulation de la glycémie peuvent s’expliquer par différent mécanisme :
1)Augmentation des hormones anti-insuliniques
Pendant la grossesse, le placenta produit des hormones qui favorisent la croissance du fœtus mais qui diminuent l’efficacité de l’insuline (c’est ce qu’on appelle l’insulinorésistance). Parmi ces hormones, on retrouve :
Le lactogène placentaire humain (hPL)
Il réduit l’action de l’insuline pour s’assurer que plus de glucose reste disponible pour le bébé.
Le cortisol
Hormone du stress qui augmente la glycémie et réduit la sensibilité à
l’insuline.
Les œstrogènes et la progestérone
En plus de réguler la grossesse, elles influencent la réponse du corps à l’insuline.
2)Augmentation des besoins en insuline
Normalement, le pancréas compense en produisant plus d’insuline pour contrer cette résistance.
Mais chez certaines femmes, le pancréas ne parvient pas à suivre cette demande accrue, ce qui entraîne une hyperglycémie et donc un diabète gestationnel.
3)Facteurs aggravants
Certains facteurs augmentent encore plus la résistance à l’insuline, comme :
- L’obésité ou une prise de poids excessive pendant la grossesse.
- Des antécédents familiaux de diabète.
- Une grossesse tardive (après 35 ans).
- Un syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), qui est associé à une insulinorésistance. Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est un trouble hormonal courant qui touche environ 1 femme sur 10 en âge de procréer. Il est causé par un déséquilibre des hormones reproductives et peut entraîner divers symptômes et complications.
Symptômes courants du diabète
Les symptômes ci-après ne permettent pas un autodiagnostique. En cas de de doute il est important de s’adresser un médecin généraliste.
Les signes du diabète incluent :
1) Soif excessive (polydipsie) :
Lorsque la glycémie est trop élevée, les reins essaient d’éliminer
l’excès de sucre par l’urine (polyurie). Ce qui entraine une sensation de soif.
2) Urines fréquentes (polyurie) :
augmentation excessive du volume urinaire, généralement définie
par une production d’urine supérieure à 3 litres par jour chez un adulte (contre environ 1 à 2 litres normalement).
Dans le cas du diabète insipide la polydipsie et la polyurie sont lié au dysfonctionnement de l’hormone antidiurétique (ADH) qui régule l’équilibre hydrique du corps. Normalement, l’ADH aide les reins à retenir l’eau pour éviter une déshydratation. En cas de diabète insipide :
-
-
-
-
- Soit l’ADH est insuffisante ou absente, donc les reins ne retiennent pas l’eau.
- Soit les reins ne réagissent pas correctement à l’ADH.
-
-
-
Résultat : les reins éliminent trop d’eau, ce qui provoque une urine très abondante et très diluée, entraînant une soif excessive.
3) Fatigue inhabituelle :
Les personnes diabétiques ressentent souvent une fatigue inhabituelle à
cause de plusieurs mécanismes liés à la gestion du glucose dans le corps :
Un manque d’énergie dû à une mauvaise utilisation du glucose
Le glucose est la principale source d’énergie du corps.
- Dans le cas du diabète de type 1, il y a un manque d’insuline, donc le glucose ne peut pas entrer dans les cellules pour être utilisé comme énergie.
- Dans le cas du diabète de type 2, il y a une insulinorésistance, donc les cellules n’absorbent pas efficacement le glucose.
- Résultat : les cellules sont privées de carburant, ce qui entraîne une fatigue importante.
L’hyperglycémie (trop de sucre dans le sang) entraîne :
- Une inflammation chronique, qui perturbe le métabolisme et fatigue l’organisme.
- Une déshydratation : le corps essaie d’éliminer l’excès de sucre par les urines
(polyurie), ce qui cause une perte de liquides et de sels minéraux, augmentant la sensation d’épuisement.
L’hypoglycémie (pas assez de sucre dans le sang) :
Si le diabétique prend trop d’insuline ou ne mange pas assez, la glycémie peut tomber trop bas.
Le cerveau, qui dépend du glucose pour fonctionner, réagit par une sensation de fatigue extrême, des vertiges et une faiblesse musculaire.
Le manque de sommeil dû aux symptômes du diabète
Ce manque de sommeil peut être lié à différentes causes :
-
-
-
-
- Les envies fréquentes d’uriner (polyurie) qui peuvent perturber le sommeil.
- L’apnée du sommeil qui est fréquente chez les diabétiques en surpoids et aggrave la fatigue.
- Les variations de glycémie, ce qui provoquent des réveils nocturnes.
-
-
-
L’impact psychologique et émotionnel :
Le diabète est une maladie chronique, ce qui peut entraîner du stress, de l’anxiété ou de la dépression, facteurs connus pour causer de la fatigue.
4) Perte de poids inexpliquée (surtout pour le type 1) :
Par un manque d’insuline empêchant l’utilisation du glucose comme énergie
L’insuline est une hormone qui permet au glucose d’entrer dans les cellules pour être utilisé comme source d’énergie.
Comme expliqué précédemment dans le cas du diabète de type 1, le corps ne produit pas du tout d’insuline, donc les cellules ne reçoivent plus de glucose. Comme le glucose ne peut pas être utilisé, l’organisme cherche une autre source d’énergie et commence à brûler les graisses et les muscles, entraînant une perte de poids rapide et involontaire.
Une élimination excessive du glucose par les urines (glycosurie)
En cas d’hyperglycémie, le taux de sucre dans le sang devient trop élevé. Les reins tentent alors d’éliminer l’excès de glucose via l’urine (glycosurie). Cela entraîne une perte de calories importante, ce qui aggrave la perte de poids.
5) Vision floue : principalement à cause des variations de leur taux de sucre dans le sang :
Trop de sucre dans le sang (hyperglycémie)
Quand le taux de sucre est trop élevé, l’œil absorbe trop d’eau, ce qui modifie la forme du cristallin (la lentille naturelle de l’œil). Résultat : la vision devient floue.
Heureusement, cela est réversible une fois que la glycémie redevient normale.
Pas assez de sucre dans le sang (hypoglycémie)
Quand le taux de sucre est trop bas, le cerveau et la rétine ne reçoivent pas assez d’énergie. Cela peut entraîner une vision trouble, accompagnée parfois de vertiges et de tremblements. Manger un peu de sucre peut aider à rétablir la situation rapidement.
Les dégâts à long terme sur les yeux
Si le diabète est mal contrôlé, les petits vaisseaux sanguins de l’œil peuvent être endommagés. Cela peut causer :
-
-
-
- Des micro-saignements dans l’œil.
- Une mauvaise circulation du sang dans la rétine, affectant la vision.
- Un gonflement de certaines zones de l’œil, rendant la vision floue de façon permanente.
-
-
C’est ce qu’on appelle la rétinopathie diabétique, une complication sérieuse qui peut mener à une perte de vision si elle n’est pas traitée.
Risque accru de cataracte
Les personnes diabétiques sont plus susceptibles de développer une cataracte, une opacification du cristallin qui rend la vision trouble. Une intervention chirurgicale peut être nécessaire dans les cas avancés.
Pression dans l’œil et glaucome
Le diabète peut aussi provoquer une augmentation de la pression à l’intérieur de l’œil (glaucome), qui peut endommager le nerf optique et causer une perte
progressive de la vision si elle n’est pas traitée.
6) Cicatrisation lente des plaies :
Chez les personnes diabétiques, les plaies mettent plus de temps à guérir à cause de plusieurs facteurs liés au taux élevé de sucre dans le sang (hyperglycémie).
Les raisons sont multiples :
Mauvaise circulation sanguine
Le diabète endommage les vaisseaux sanguins, ce qui réduit l’apport en oxygène et en nutriments aux tissus blessés. Moins d’oxygène = cicatrisation plus lente.
Neuropathie diabétique (perte de sensibilité)
Les nerfs endommagés empêchent de ressentir les petites blessures (coupures,
ampoules, égratignures). Une plaie peut donc s’aggraver sans que la personne s’en rende compte.
Système immunitaire affaibli
Le diabète réduit l’efficacité des cellules immunitaires, ce qui rend l’organisme moins capable de combattre les infections. Une petite plaie peut rapidement s’infecter et s’aggraver.
Taux de sucre élevé = milieu favorable aux infections
Le glucose élevé dans le sang favorise la croissance des bactéries, ce qui augmente le risque d’infection. Les infections ralentissent encore plus la cicatrisation et peuvent s’étendre.
Infections récurrentes (notamment des gencives, de la peau ou des voies urinaires) :
(aussi appelé crise cardiaque, survient lorsque le flux sanguin vers une partie du cœur est bloqué, généralement à cause d’un caillot sanguin. Cela empêche le cœur de recevoir de l’oxygène, ce qui peut endommager le muscle cardiaque) :
Les personnes diabétiques ont un risque 2 à 4 fois plus élevé de faire un infarctus cela peut s’expliquer par différentes raisons :
Taux de sucre élevé dans le sang
L’excès de glucose endommage les parois des vaisseaux sanguins, les rendant plus fragiles et favorisant la formation de plaques de graisse (athérosclérose).
Accumulation de cholestérol et formation de caillots
Le diabète favorise un mauvais cholestérol (LDL) qui s’accumule dans les artères, formant des plaques. Ces plaques peuvent se rompre et créer un caillot, bloquant la circulation du sang vers le cœur.
Hypertension fréquente chez les diabétiques
Beaucoup de diabétiques souffrent aussi d’hypertension artérielle, ce qui endommage encore plus les artères et augmente le risque d’infarctus.
Moins de signes d’alerte chez les diabétiques
Le diabète peut affecter les nerfs, ce qui atténue la douleur. Résultat : certaines personnes ne ressentent pas de fortes douleurs à la poitrine et ne réalisent pas qu’elles font une crise cardiaque.
Il est important de noter que le diabète de type 2 peut se développer de manière silencieuse, sans symptômes clairs pendant plusieurs années.
Conséquences d’un diabète non traité
Un diabète non contrôlé peut entraîner des complications graves :
Neuropathie: Dommages aux nerfs, provoquant des douleurs, des engourdissements ou une perte de sensation.
Rétinopathie diabétique: Une atteinte des yeux pouvant mener à la cécité.
Maladies cardiovasculaires: Risque accru d’infarctus du myocarde et d’accidents vasculaires cérébraux.
Insuffisance rénale: Le diabète est une des principales causes d’insuffisance rénale chronique.
Insuffisance rénale:Liées aux infections ou aux ulcères (une plaie ouverte) qui ne guérissent pas.
Gestion et prévention du diabète
Faire évoluer ses habitudes de vie vers plus d’activité physique et une alimentation plus saine sont les facteurs les plus simples et les plus efficaces.
I – Mode de vie sain
1)Alimentation équilibrée
L’alimentation est le facteur le plus important. Dans nos sociétés
nous avons une globalement une mauvaise alimentation. Les aliments sont trop élaborés et trop riches, les repas sont trop copieux et tentations sont trop grandes et trop présentes.
Privilégiez les aliments riches en fibres (fruits, légumes, céréales complètes) et évitez les sucres rapides.
Il est donc intéressant de se faire aider par un professionnel de santé :
Un nutritionniste :au-delà de la prise de conscience et du choix du régime alimentaire, il s’agit d’être accompagné. Avoir un « coach » pour soutenir et accompagner votre effort.
Certains d’entre nous peuvent avancer seuls mais pour la majorité une aide amène de meilleurs résultats.
Un pharmacien: pour vous conseiller des produits vous aidant à vous sevrer du sucre (comme il peut vous accompagner dans le sevrage tabagique). Le sucre est une drogue.
Se priver de sucre un temps est facile… mais il sera tout aussi facile de « craquer » et de manger inconsciemment encore plus de sucre apparent ou caché ! Il existe des produits naturels permettant de se défaire du sucre.
Au-delà il peut être utile de changer certaines routines de vie :
-
- Changer de magasin pour faire vos courses vous évitera de visiter les rayons avec les mêmes reflexes : nouveaux achats en éliminant le trop calorique et faire des économies pour se faire plaisir… ou acheter plus de fruits et légumes.
- Choisir un parcours plus long ou un parcours à pied en prenant le soin d’un arrêt pour respirer profondément changera énormément votre santé. Les escaliers sont de merveilleux terrains de sport gratuits.
Ce qui est une façon simple de progresser sur la deuxième priorité : l’activité !
2)Activité physique :
Au moins 150 minutes d’exercice modéré par semaine (30 minutes d’activité modérée 5 fois par semaine). Chaque progrès compte ! Ne vous découragez pas. Pas besoin de devenir un champion ou de s’abimer les articulations ou d’investir dans un équipement couteux : la marche est un bon départ et peut se pratiquer partout. Si vous bougez les bras c’est mieux. Il y a pour plusieurs raisons pour développer l’activité physique :
Elle aide à baisser la glycémie :
Les diabétiques sont plus à risque de maladies du cœur (infarctus, AVC, hypertension). Le sport permet :
-
-
-
- De renforcer le cœur et d’améliorer la circulation sanguine.
- De réduire le cholestérol et la tension artérielle.
- D’éviter l’accumulation de graisses dans les artères.
-
-
Les muscles utilisent le sucre présent dans le sang comme source d’énergie.
-
- L’activité physique aide donc à réduire naturellement la glycémie, limitant ainsi les complications du diabète.
Ce qui a pour conséquence :
-
-
-
- Effet immédiat : Après l’effort, la glycémie diminue.
- Effet à long terme : L’exercice améliore la sensibilité à l’insuline, ce qui permet au corps d’utiliser plus efficacement le sucre.
-
-
Elle améliore la sensibilité à l’insuline :
Avec le diabète, le corps a souvent du mal à bien utiliser l’insuline (lorsqu’il en produit), l’hormone qui régule la glycémie. Faire du sport réduit la résistance à l’insuline (surtout pour le type 2), permettant aux cellules d’absorber le glucose plus efficacement.
Moins besoin d’insuline = meilleur contrôle du diabète.
Elle réduit les risques cardiovasculaires:
Elle prévient la prise de poids
Le surpoids aggrave le diabète, car il augmente la résistance à l’insuline.
L’exercice aide à brûler des calories et à maintenir un poids sain.
Même une perte de 5 à 10% du poids peut améliorer la glycémie.
Elle améliore la circulation sanguine
En bougeant, on stimule la circulation, ce qui réduit le risque d’ulcères diabétiques et de mauvaise cicatrisation.
Moins de risques de complications comme le pied diabétique.
Elle booste l’énergie et le moral
- Crée moins de fatigue et plus de tonus au quotidien.
- Réduis le stress et l’anxiété, qui peuvent influencer la glycémie.
- Crée une meilleure qualité du sommeil, ce qui aide aussi à réguler la glycémie.
Maintien d’un poids santé
Réduire l’excès de poids diminue significativement le risque de
diabète de type 2. Alimentation et activité physiques sont les clefs.
II – Surveillance médicale
-
- Tests réguliers de glycémie pour les personnes à risque.
-
- Suivi avec un professionnel de santé pour adapter le traitement.
III – Traitements médicaux
Insuline: Nécessaire pour le diabète de type 1 et parfois pour le type 2
Médicaments oraux : Aident à réguler la glycémie pour le diabète de type 2.
Médicaments pour lutter contre l’obésité: Sur conseil d’un médecin lorsque les mesures diététiques n’ont pas suffi.
Quand consulter un professionnel de santé ?
Il est toujours utile de demander conseil : si vous vous sentez concerné(e) c’est que vous l’êtes probablement. Il est crucial de consulter un médecin si vous présentez des symptômes de diabète ou si vous appartenez à un groupe à risque (antécédents familiaux, obésité, sédentarité).
Le diabète est une maladie chronique qui n’est pas à prendre à la légère. Avec une bonne gestion et un mode de vie adapté, il est possible de vivre une vie pleine et active tout en minimisant les risques de complications.